Point de vue matériel :

 La population mondiale est de 7,78 milliard d’individus en septembre 2009. La prévision réalisée en 2000 n’arrivait qu’à hauteur de 6,1 milliard ! 
Chaque jour la population mondiale augmente de 221000 personnes, qui sont le résultat du différentiel entre 365000 naissances et 144000 décès. Cela fait 79 millions de personnes de plus par an ! 
Avec ce taux de croissance, nous serons 7 milliards fin 2011 et 9 milliard en 2050. 
(nous étions500 millions en 1650, 1 milliard en 1850, 2,5 milliards en 1950)  

Le dernier rapport (19 juin 2009) de la FAO sur la faim dans le monde est très alarmant :  

-         1,2 milliard de personnes sont victimes de la faim, soit une personne sur six.

-         Les progrès enregistrés dans les années 80/90 se sont inversés dès 1995.

-     En un an, c’est 100 millions de personnes supplémentaire en sous-alimentation chronique. C’est plus que l’augmentation annuelle de la population mondiale.  

La FAO estime que la production alimentaire devra augmenter de 70% pour nourrir les 9 milliards que nous serons en 2050. 
L’Afrique, qui verra sa population doubler, devra multiplier par 4 ses récoltes pour espérer nourrir chacun décemment.  

L’empreinte écologique des humains excède déjà de 30% la capacité biologique de la terre à se régénérer. Si toute l’humanité adoptait le mode de vie des pays occidentaux riches, il faudrait 3 à 5 planètes terre pour répondre aux besoins de tous.  

Point de vus spirituel :   

Nous avons vu dans l’onglet enseignements que l’âme est crée par Dieu. Toutes les âmes n’ont pas été crées à l’origine (qu’est ce que l’origine d’ailleurs ?). 
Lorsque la population augmente, la première solution, pour donner des âmes à ces nouveaux corps, peut être de réduire le temps passé dans l’Au-delà entre deux incarnations successives. Mais cette solution ne peut être que transitoire compte tenu de l’augmentation exponentielle de la population. Il est donc indispensable de créer de nouvelles âmes. 
Il s’agit donc d’âmes jeunes, très jeunes qui n’ont pas encore progressées et qui ont donc tout à apprendre.  

Il ne faut donc pas s’étonner du nombre de conflits, de guerre, de génocides dans les pays à forte croissance démographique car l’augmentation de la population entraine forcement un abaissement moyen du niveau spirituel de cette population. 
 

Conclusions :  
 Le problème n’est pas de savoir réduire la mortalité enfantine, le problème n’est pas d’accroitre nos capacité de production alimentaire car la terre de notre planète n’en est plus capable, la solution est d’arrêter de faire des enfants que nous ne pouvons pas nourrir, pas soigner et pas aimer.   

Ce constat devrait être partagé par les religions de la terre, mais ce n’est pas le cas. Elles veulent toujours plus d’enfants, car elles veulent, chacune, la suprématie sur la concurrente. Ce raisonnement était celui des vieux pays européens au XIX nième siècle, nous avons vu le nombre de guerres qu’il à suscité ! Les vieilles religions établies en sont encore là. Il est vrai qu’un ventre vide lève plus facilement les yeux au ciel, qu’un ventre repu et en bonne santé ! 
 

Les remèdes se situent dans l’incitation financière des populations et dans l'éducation des jeunes filles :   

Pour les pays versant des allocations familiales :

Augmentons les allocations familiales pour le premier et second enfant. 
Maintenons la prestation au-delà de vingt ans, pour les enfants faisant des études supérieures. 
Réduisons la prestation du troisième enfant (159€ en France), à moduler pour tenir un objectif de 2,1 enfants par femme. 
Supprimons la prestation pour le 4° enfant. 
Créons une prestation négative pour le 5° enfant afin de ramener la somme maximum versée au niveau de la prestation touchée pour 2 enfants. 
Supprimons totalement l’ensemble des prestations familiales à partir du 6° enfant.  

Pour les pays ne versant pas d’allocation familiale :

Incitons financièrement, les hommes ayant déjà 2 enfants, à se faire stériliser. 
 

En même temps, il faut éduquer les jeunes femmes. Financer leurs études dans leur pays, évitera de les voir prendre des bateaux pour émigrer sur nos côtes. Cela permettra surtout de leur donner une formation, un métier, avec lequel elles pourront gagner leur vie sans être dépendantes d’un homme qui les maintenait jusqu’à présent dans la dépendance du ventre ! 
Elles participeront au développement économique de leur pays, elles sortiront enfin de leur rôle unique de « génitrices ».  

Si nous ne réagissons pas rapidement, notre bonne vieille terre le fera pour nous : pollution, famines, épidémies, génocides et catastrophes naturelles seront bientôt notre lot quotidien.

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