A l’âge de 14 ans, moi, Bernard, j'ai rangé mes croyances religieuses catholiques au fond d’un tiroir. Je ne pouvais pas croire aux mystères de l’immaculée conception, de la virginité de Marie, de la résurrection de la chair et du jugement dernier à la fin des temps, par exemple ! 
J’ai fait des études et j’exerce aujourd’hui le métier d’ingénieur, plutôt mécanicien, ce qui n’est pas la ligne directe vers le mysticisme! 

J’ai fondé une famille avec Thérèse ( photo en haut à gauche), professeur de biologie et bientôt 4 enfants sont arrivés. J’ai  perdu ma femme en 1999, notre plus jeune fille avait huit ans. J’ai rencontré ensuite Laurence qui avait perdu également son conjoint, François ( photo en haut à droite). Elle est professeur de biologie. Nous avons essayé avec nos 2 malheurs de construire un nouveau bonheur…

 
Les enfants nous entraînent souvent à sillonner la France pour faire quelques déménagements, dans le cadre de leurs études, ce qui nous a conduits un jour à visiter la basilique de Paray le Monial. Puis dans un restaurant, à coté, nous avons rencontré "par hasard", un couple qui nous a parlé de ses soucis et du réconfort qu’il avait trouvé en lisant une revue: La revue de l’au-delà.

Vous voyez à gauche la couverture de la revue de l’au-delà du 30 mars 2003 

Elle donne des articles de fond sur les techniques de communication entre les défunts et les vivants par l’écriture, sur bande magnétique, ou avec des médiums qui sont des intermédiaires entre  défunts et vivants.

Des articles parlent des enseignements qu’ils nous transmettent ! Pour nous, qui étions dans notre deuil, cela nous interpellait d’autant que Laurence pensait avoir des signes de son mari François…Pour ma part, je restais très dubitatif et m’inquiétais de voir Laurence pratiquer l’écriture automatique.

 
La revue propose également des rencontres à travers la France: « les journées de la survivance », pour développer ces questions de la vie après la mort et réaliser des expériences de communication avec les décédés : la médiumnité.

 
Nous sommes donc allés à Lyon, à une journée de la survivance, en avril 2003. Mon but était de montrer à Laurence que tout cela ne tenait pas debout. Dans une salle paroissiale, 300 personnes attendaient des exposés sur les NDE (sorties du corps après un accident), et des expériences de communication grâce à 3 médiums, Henri Vignaud, Michèle Riffard, Reynald Roussel Nous n’avons pas eu de messages personnels de nos conjoints. Nous en avons conclu que ces messages pouvaient être arrangés entre des acteurs sur l’estrade et dans la salle !

A midi, nous sommes allés déjeuner. Il restait 2 places à table, en face d’une des médiums qui me confia entre la poire et le fromage un message de ma tante : « elle a beaucoup prié à côté d’une statue de Marie »

Puis le médium a roulé la nappe entre ses doigts: c’est ce que faisait ma tante la dernière fois que je l’ai vue vivante !.

Elle ajoute que ma tante me demandait de : « prier pour les défunts de la famille ». Ceci correspondait au message transmis à ma compagne par écriture automatique! Et la statue de Marie, je l’ai trouvée 2 ans plus tard en discutant avec la fille de ma tante.

 
Ensuite, le mari de Laurence s’est fait reconnaître à son tour: type de maladie, douleurs ressenties par le médium et décrites et description de son chat décédé qu’il tenait dans ses bras…François lui demandait pardon d’être parti ! Elle avait du mal à se remettre de sa mort et avait même, avant notre rencontre, eu des tentations de suicide. 

 
Cette rencontre a fait basculer  mes croyances. J'étais venu dans l'espoir de ramener ma compagne à la raison, je suis revenu avec de nouvelles convictions:

-         la mort n’est pas la fin de la vie, 

-         il ne faut pas attendre la fin du monde pour ressusciter , la survivance est immédiate

Par la suite, j’ai essayé d’en savoir plus. La revue de l’Au-delà nous a ouvert des portes et nous a entraîné vers de nombreuses lectures. Vous trouverez les livres essentiels sur ces sujets en cliquant sur l’onglet bibliographie.

Laurence continue d’obtenir des messages en écriture automatique avec son mari, ce qui ne m’inquiète plus ! 
 

Pour commencer, voici les personnalités françaises qui ont essayé de mettre un peu de méthode scientifique dans des manifestations plus ou moins fantaisistes de l’Au-delà.

Alan Kardec, fut le premier à écrire sur ce sujet au 19^ème siècle. Camille Flammarion, astronome français, la tête dans les étoiles, a essayé d’appliquer un raisonnement scientifique à ces phénomènes paranormaux. D’autres ont suivi comme Léon Denis à cheval sur 19^ème et 20^ème siècle, Gabriel Delanne ensuite. 

Les témoignages actuels sont des messages transmis en écriture automatique par des personnes décédées à un parent sur terre: Roland de Jouvenel qui écrit à sa mère dans les années 1950, Isabelle Lionet qui écrit à sa mère Anne Marie encore aujourd’hui, Georges Morrannier décédé en 1973, a communiqué par écriture automatique avec Jeanne, sa mère depuis 1976. Ils ont écrit ainsi sept livres importants. Jeanne est aujourd’hui décédée.   

Serge Girard est canadien, il a pris connaissance de ses compétences en écriture automatique après le décès de sa sœur en 1981. Son guide lui a également dicté par écriture automatique 1200 pages dont il a fait cinq livres chez JCL. J’y ai puisé des exemples de réincarnations, de scénarios de vies.  Le 11 février 2010, une  émission de télévision sur LCN au canada lui a été consacrée. Depuis cette date de nombreux amis canadiens ont consulté ce site. Vous pouvez  voir cette vidéo avec ce lien:  
http://videos.lcn.canoe.ca/archive/category/nouvelles/denis-lévesque:-émission-du-11-février-(1)./66180645001

Michael Newton (photo en bas à gauche), contrairement à ses collègues qui utilisent l’hypnose uniquement afin d’appréhender les vies antérieures de leurs clients, les fait régresser dans la période intermédiaire entre deux incarnations, lorsque l’âme a terminée une vie et en prépare une suivante.

Les connaissances transmises sont importantes pour comprendre les processus de bilan de fin de vie sur terre et du choix de la vie suivante en fonction des objectifs que se donne, ou que l’on donne à l'âme. Ces enseignements sont complémentaires de ceux de Georges Morrannier  et permettent de comprendre la « réalité » de l'Au-delà et de préciser les enseignements des précurseurs.