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Les techniques chapitre 2:  la TCI
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La communication dans la bible


Jurgenson
Friedrich Jürgenson
"photo parasciences"
Friedrich Jürgenson
sur la télévision
Rudolf Hoess

La TCI est un autre type de communication, ne faisant pas appel, en principe, à un médium. Il existe différentes techniques, détaillées ci-dessous.

Le téléphone

Les communications par téléphone existent depuis 1917 au Brésil: c’est le défunt qui prend l’initiative soit d’un appel direct avec sonnerie et conversation entre l’esprit et le vivant, soit d’une intervention sur une communication établie entre 2 vivants. 
 
Certains reçoivent des SMS. Récemment une dame qui a perdu son mari, un an auparavant, a été avertie par le médium en séance publique (devant 150 personnes en 05.2007), qu’il lui ferait une surprise pour son anniversaire:" Restez à l'écoute...". Elle a reçu un message de quatre lignes sur son téléphone portable sans que l’on puisse détecter l’origine de l’appel. C'était le matin de son anniversaire !  

La radio

Il peut y avoir des messages en utilisant des mots en pointillé, ou des paroles de chanson sur une émission brouillée. Laurence nous partage trois exemples personnels.  

"Lorsque mon oncle Pierre est mort, j’habitais encore avec François, mon mari, à Trêves, en Allemagne.

J’ai assisté aux obsèques en Franche Comté avec mon frère que je suis passé prendre en chemin.

Au retour, après l’avoir déposé chez lui, je devais encore faire 60 km dans la vallée de la Moselle. J’étais très triste car j’aimais beaucoup mon oncle qui était très mystique. Je pleurais, tout en lui parlant dans ma tête. C’est alors que j’ai ressenti le besoin impérieux d’allumer la radio de mon véhicule.

Compte tenu de la géographie, la présence des reliefs de la vallée de la Moselle, les ondes de la station, que par ailleurs je n’avais pas choisie, passaient très mal. Le programme était en allemand et mon vocabulaire étant limité dans cette langue, je ne comprenais pas toutes les paroles de cette chanson de variété. Cependant, celles que je compris, avaient tout leur sens : « pourquoi pleures-tu ? Là où je vais, je suis bien ». Ensuite, le refrain répétait « Maria, Maria , Maria ». Or mon oncle avait une grande confiance en Marie. J’ai été très étonnée de recevoir une réponse aux questions que j’adressais à mon oncle dans ma tête. J’en ai fait part à mon mari, François, à mon arrivée à Trêves.   

Est-ce pour cette raison que, plus tard, après sa mort, il utilisa également ce moyen de transcommunication ?  

Quelques mois après son décès, je m’étais forcée d’assister à un concert d’orgue à Maîche ( Haut-Doubs ). J’étais dans une période de déprime importante, mais je voulais lutter et je m'obligeais à sortir.

Au retour, en voiture, je mets en marche la radio, sans choisir de station. Ce que je sais, c’est que cette musique a capté mon attention par sa simplicité. A la sortie de Maîche, elle ne donne à entendre qu’une percussion : clac… clac…clac…Et puis, à hauteur du hameau des Bichets, le rythme se complexifie, avec l’introduction de contretemps. Je tends l’oreille et me dis que le musicien a le sens de l’invention ! Avec deux baguettes seulement, il arrive à créer une musique variée, créative, surprenante ! Intéressante ! Me voici à l’entrée de Frambouhans et des sons très planants se mêlent à présent au rythme qui peu à peu s’efface. Cela ressemble maintenant à un voyage intersidéral ! J’ai l’impression de voyager dans l’univers, de nager entre les planètes. De fait, j’arrive chez nous, je coupe le moteur. Les étoiles scintillent sous la voûte céleste. Une voix se fait alors entendre dans cette musique qui m’a un peu envoûtée. C’est un homme qui chante en anglais. Je ne comprends pas tout et par ailleurs, il y a peu de paroles. Mais ce que je comprends dit ceci, lorsque je mets les mots bout à bout :   

« Ma vie avant…

Notre imagination n’est rien…

Toi aussi, un jour tu sauras ! » 

Je suis restée médusée à mon volant, et carrément sidérée en entendant la répétition de « where, where, where » signifiant « où, où, où ». La veille au soir, j’avais hurlé dans la maison: « tu es où, tu es où, tu es où ? ». François venait de me donner une réponse par la radio. Je n’ai jamais réentendu ce morceau de musique depuis.  

Un mois plus tard, je me suis inscrite à un stage d’aquarelle dans un lieu dit : cirque de consolation. Au bout de quelques jours, je fais un rêve, la nuit, pendant lequel François me dit qu’il est en expiation. Dans ce rêve, je tenais un pendule à 2 fils, l’un restait près de ma jambe et l’autre s’en écartait. Comme il y avait, parmi les stagiaires, une personne, Paulette, qui manipulait souvent un pendule, je pensai à lui demander la signification de ce rêve. Arrivée en retard à la séance suivante, je ne puis aborder la question. Mais quelle ne fut pas ma surprise, lors du repas de midi, d’entendre un des participants parler de sa maison hantée ! Un de ses amis, géobiologue, en visite chez lui, lui avait dit que, dans sa maison, vivait également une personne déjà décédée. Il s’agissait de la tante de sa femme qui, assez matérialiste, n’avait pas voulu quitter les lieux, après sa mort. Le géobiologue lui avait conseillé de faire dire 3 messes pour aider cette âme à partir vers la lumière.   

J’étais assez troublée par ce que je venais d’entendre, qui m’avait remis mon rêve en mémoire ! C’est alors que la bisontine Paulette en rajouta à son tour un couplet :  « oui, oui, on peut aider des gens en difficulté à monter ! Cela m’est arrivé. Et l’on est même quelque fois récompensé. Ainsi moi, en aidant une tante, j’ai reçu un bracelet. En faisant le ménage chez elle après sa mort, hop, j’ai un bracelet qui m’est tombé dessus ! » Je me suis demandé si je n’étais pas avec des cinglés !  

Mais en même temps, je ressentais bizarrement cette coïncidence avec le rêve que je venais de faire et qui m’avait fortement impressionnée ! C’est pourquoi je m’en suis ouverte à Paulette lorsque nous avons traversé le jardin clos de l'ancien séminaire, lieu du stage,  après le repas. « Ton mari, il faut le laisser aller ! Arrête de le retenir ! D’ailleurs, tu as entendu la solution ! Fais dire des messes pour l’aider ! ». J’étais très interloquée ! Mais à la fin de la journée, je me suis arrêtée à la cure de notre village et j’ai demandé au père Besançon, notre curé, de dire les messes pour François ! Je l’ai fait parce que je veux qu’il soit heureux, mais avec une petite réticence pourtant : je trouve que cela s’apparente à de la magie et cela me plaît moyennement…Il me semble que l'Amour Divin est au-dessus de cela.  

Tout ceci eut lieu le dernier jour du stage d’aquarelle. Le lendemain, je quittais ma maison. J’allais partir pour la Bretagne, rejoindre des amis. C’était la première fois que je partais en vacances sans François et les larmes coulaient. Comme elles sont cruelles toutes ces premières fois… Et la série des « coïncidences »  allait continuer bon train. Ainsi lorsque je suis allée, pour commencer, chez mes parents- voyage de trois-quarts d’heure- j’avais branché ma radio machinalement. Pour une raison qui m’échappe, les ondes étaient complètement brouillées : aucune parole n’était audible. Comme j’avais l’esprit encore bien préoccupé par les événements de la veille, je n’y prêtais guère attention. Cependant, à un moment, non loin de la bourgade de Saint Hippolyte- et ce fut le seul endroit de tout le voyage- les paroles devinrent très claires : 

« ELLE PLEURE POUR UNE AME QUI PART VERS LA LUMIERE ». 

Pour une coïncidence… j’avais de quoi être troublée à nouveau …Troublée et heureuse en même temps, avec ce ressenti d'un coup de poing de joie à l'estomac. A ces moments intenses, il n'y a place que pour cela, la joie ! Malheureusement, le temps passant, mon côté rationnel reprenait le dessus, tuant cette allégresse d'un imparable " Mais non, tu sais bien que tout cela n'est pas possible ! " .  

Le lendemain, je suis debout sous le soleil du Berry, dans ce petit cimetière que nous connaissions si bien, François et moi-même…Ses habitants étaient nos plus proches voisins lorsque nous venions en vacances dans la petite maison de ses grands-parents. Nous ne nous plaignions point de cette proximité qui nous valait un grand calme au fond du jardin…Et nous ne manquions pas d’aller saluer de l’autre côté du vieux mur de pierre sèche, son grand- père et sa grand- mère reposant sous le soleil accablant du mois d’août. J’avais un sentiment trompeur d’éternité : eux étaient morts, nous, nous étions vivants et il n’y avait pas de raison que cela change un jour. Or, plus terrible que le tonnerre dans le ciel bleu, ce jour est arrivé où nous avons été arrachés l’un à l’autre. Voici pourquoi je suis debout dans l’allée sableuse, avec cette sensation totale d’irréalité. Nous sommes en juillet 1998. Je reviens ici pour la troisième fois, la première ayant été pour l’inhumation en février, la deuxième fois mes parents m’accompagnant pour les Rameaux. Ce jour, qui me rappelle tant d’autres jours d’étés avec François, je suis seule, avec mon petit pot de kalenchoé acheté pour lui chez le fleuriste de Sancoins. Ses petites fleurs sont d’un rouge ardent, vibrant comme vibraient nos deux cœurs à l’unisson. J’avance avec la sensation de me déplacer dans un cauchemar. Je m’approche de ce lieu que chaque fibre de mon corps refuse, ce lieu si fleuri encore, où son corps, décharné par l’horrible maladie, commence à retourner à la poussière dont il fut modelé.  

« François, je voudrais tant que tu m’emmènes loin de cet irrémédiable : tu es mort et j’ai perdu la moitié de moi, je ne sais même plus qui je suis car en 19 ans de vie commune j’avais appris à penser  "nous" ». Me voici devant la tombe et je m’exclame « Oh non ! Ce n’est pas possible ! » Et je m’accroche des deux mains à mon kalenchoe que, de surprise, j’ai failli lâcher, la seconde précédente : dans les plantes que j'ai déposées le jour de l'inhumation, avec ceux de ma famille qui l’aimaient tant aussi, il y a un petit bijou. C’est une petite broche, une fleur, avec des brillants qui font miroiter les pétales…La surprise est de taille…"La" Paulette n’était donc pas si folle que cela !  

 

Par ailleurs, la radio peut aussi délivrer un message spécifique du défunt, sans rapport avec une émission mais qui utilise les vibrations de ses ondes comme support, pour fabriquer sa voix. Nous n’avons pas d’exemple personnel à partager. 


Enregistrement sur magnétophone

Les communications existent sur magnétophone, depuis l’apparition des premiers appareils à fil. Le 17 septembre 1952, deux physiciens du laboratoire de physique expérimentale de l'Université Catholique de Milan, le père Gemelli et le père Pellegrino Ernetti, travaillent à l'aide d'un oscillographe sur des enregistrements de chants grégoriens: il s'agit d'obtenir un son plus pur. Les bandes magnétiques sont d'une fragilité extrême à cette époque. Le Père Gemelli   grommelle  «Aide-moi, papa », invoquant son père décédé, chaque fois que le fil se casse. Lorsque Gemelli réécoute  pour vérifier sa réparation, il entend, à sa grande surprise, la voix de son père prononcer très clairement: «Mais bien sûr que je t'aide, je suis toujours avec toi ! ». «II eut un choc et transpira beaucoup» racontera plus tard Ernetti. Les deux hommes interrogent à nouveau le mystérieux intrus: « Mais oui, gros benêt, bien sûr que c'est bien moi ! ». En italien, «gros benêt» se dit «xuccone»... le surnom qu'utilisait le père de Gemelli pour appeler son fils ! 
Les deux physiciens vont au Vatican pour entretenir le pape Pie XII de ce phénomène. Le Saint Père leur dit alors:   « Rassurez-vous, ceci semble relever du scientifique et non du spiritisme. L'enregistreur est un appareil objectif incapable d'être suggestionné: il ne peut capter que les vibrations sonores, quelles que soient leurs sources. Cette expérience pourra peut-être marquer le début de nouvelles études scientifiques pour confirmer la foi dans l'au-delà ».  

La technique évolue vers des magnétophones à bandes. En1959, en Suède, Friedrich Jürgenson, peintre et chanteur d'opéra, enregistrait des chants d'oiseaux dans les environs de Stockholm. Lorsqu’il réécoute la bande, il entendit la voix d'un homme lui parlant en norvégien. Il pensa évidemment que son magnétophone avait pu capter une émission de radio extérieure. Mais le phénomène se reproduisit. Et quand il réécouta les bandes, il perçut des voix l'interpellant en allemand, des messages étranges et incohérents jusqu'à l'appel insistant : « S'il te plaît, attends, écoute-nous. » Il entra en relation avec un autre chercheur, letton, Constantin Raudive (1909-1974), qui avait déjà découvert la même possibilité de communiquer avec des trépassés et capté sur son magnétophone plus de 70 000 voix. Les techniques se perfectionnèrent dans les années suivantes.

Malheureusement, les messages recueillis ainsi sont plutôt décevants, très brefs, souvent peu audibles. Friedrich Jürgenson écrivit donc son premier livre en 1964. 
 

En France, Yves Linés est l’un des spécialistes, il est venu en juin 2008 à Montbéliard pour parler de sa technique et donner des exemples de résultats.

L’association Infinitude s’occupe également de ces enregistrements des voix des décédés.  

Sur la télévision.

Les premiers essais se font en Italie dès 1973 avec Mario Rebecchi. Friedrich Jürgenson, déjà décédé ne peut pas s’empêcher d’utiliser cette nouvelle technologie en 1994, lui qui fut le pionnier des enregistrements sur magnétophone. Et le voici qui fait apparaître son visage sur l’écran!

Par ailleurs, voici un exemple actuel d’images sur télévision par l’IFRES, à Paris. Joël Ury travaille sur la communication par la télévision depuis une dizaine d’années. Site Internet IFRES. Il utilise la technique du larsen vidéo avec balayage laser, voici une image obtenue, ( nous l’avons vue en novembre 2005 ), bien floue toutefois. 
 

La télévision peut réserver d’autres surprises, ainsi le cliché obtenu par une personne de notre connaissance qui photographia son chat à côté de la télévision éteinte.

Elle a eu la surprise, après développement, de voir un gros plan du visage d’une dame sur l’écran.   

Elle reconnut sa grand-mère, apparue  jeune sur l’écran alors qu'elle décéda à un âge avancé.

 

Messages sur ordinateur   

L’enfer se manifeste le 24 décembre 1994 : Rudolf Hoess, chef du camps d’Auschwitz demande que l’on prie pour lui en écrivant directement sur l’écran de l’ordinateur d’Adolf Homes, spécialiste de TCI en Allemagne. Le message a été publié par la revue Parasciences n°57.  
 

« 1947, Rudolf Hoess, fin sur terre. Essai de contact spirituel par voie électromagnétique avec le destinataire. Un grand malheur pèse sur moi et mon groupe. J'ai porté la responsabilité dans l'usine de mort. L'obéissance qui méprise toute raison crée des douleurs indescriptibles, la peur et la mort. J’entends les hurlements des mères et le râle des enfants. Les destinataires de ce message doivent prier pour Rudolf Hoess. Les prières apportent de l’aide. J'essaie depuis la Pologne, 1947, d'avoir de l'air, de respirer: l'air est rempli de gaz. Nous vous supplions de nous aider par vos prières. 650 000 esprits pleurent et crient, leurs corps sont trop lourds pour nous. Nos portes sont fermées de l'extérieur, et les cendres aveuglent nos yeux. Où est Dieu, qui pardonne, et nous délivre du serment du 2 août 1934? S'il vous plaît, ouvrez les portes et les canaux d'aération. Il y a de petites ouvertures de contrôle, par lesquelles des animaux nous observent. Au travers des brouillards, nous pouvons apercevoir des vaches et des lions qui recueillent des cendres dans le fleuve Weichsel et les apportent dans des synagogues. Nous vous supplions de prier pour notre liberté, car nous regrettons très profondément nos actes. R. Hoess ».  
 

Les nazis, qui avaient traité les juifs comme des animaux que l’on mène à l’abattoir, se retrouvent gardés par des animaux! Ils vivent ce qu’ils avaient fait subir aux juifs. Mais Hoess a compris l’horreur de son obéissance aveugle, il reconnaît la puissance de l’Amour de Dieu et appelle les vivants à l’aide, pour lui et ceux de son groupe !   

Un élève de Laurence, décédé en 02.2007 a donné un message sur l’ordinateur de sa maman. Il avait en quelque sorte, préparé sa famille à ce qui allait arriver, car son beau père, l’avait vu en rêve, auparavant, deux nuits de suite, travailler sur l’ordinateur.

Il a fait apparaître, sur l’écran,  dès l’allumage, sa photo (déjà existante dans un fichier de l’ordinateur) et a ajouté un commentaire : « bonne fête maman » ! Ceci se produisit pour la fête des mères. Très surprise, la maman demanda l'aide d'un informaticien chevronné mais il fut impossible de trouver une origine naturelle à cette image. Voir la vidéo...


En cliquant sur les onglets bleus  vous trouverez des explications dans les autres domaines.

Nota : vous n'êtes pas obligés d'adhérer  à ces explications techniques pour pouvoir contacter vos défunts. Par ailleurs, les contacts sont du domaine de la physique, les explications techniques sont celles connues à ce jour et peuvent évoluer.

 
SMS reconstitué
Pellegrino
Ernetti Pellegrino
photo IFRES

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Informations légales Retour haut de page Mise à jour: 18 06  2010