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LA TRANSITION DES AMES
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l'église catholique
Les communications
dans la  bible
l'avion concorde
Concorde au décollage le 25 juillet 2000
Brigitte K.
Brigitte K.
le sous marin Minerve
L'équipage de 52 hommes
Les 52 marins
daniel
Daniel N.

Quelle que soit la technique, il suffit qu’un médium soit plus sensible qu’un autre pour que les informations soient plus précises. Il suffit qu’un acteur en TCI soit absent pour faire chuter les résultats ou au contraire, les résultats peuvent s’améliorer lors de l’absence d’un participant habituel.

Il est donc important de s’entourer de personnes motivées, et « compétentes ». Il faut aussi maitriser la technique de la TCI !   

Il est indispensable maintenant de parler du plus important : la disponibilité de l’esprit: 

Agée de cinq ans, une petite fille perd sa mère. Celle-ci avait 28 ans et une autre fille de huit ans. Arrivée à l’âge adulte, la cadette a essayé de contacter sa mère, sans succès.

Un autre exemple : un père aurait aimé contacter son fils qui s’était suicidé : pas de réponse non plus ! 
 

La Transition des âmes

1. Cette mère a sans doute pensé en mourant : « je ne dois pas abandonner mes enfants à cet âge, je dois rester pour m’en occuper ».

Elle s'est alors retrouvée bloquée dans un monde intermédiaire, un monde parallèle, un monde virtuel où elle a passé 60 ans sans rien voir du temps qui continuait à se dérouler sur terre.

2. Ce jeune qui s’est suicidé a pu dire, « je vous tire ma révérence, je ne veux plus rien voir, ne plus rien entendre de vous ».

Il va donc passer la suite de sa vie dans un espace temps parallèle où il ne verra rien et surtout pas les personnes de l’Au-delà, venues l’accueillir.

Les expressions : ils ne sont pas détachés (de la terre), ils ne sont pas dans la Lumière sont employées pour qualifier les âmes errantes. 
 

L’au-delà est un lieu où la pensée est active, créatrice

Krishna enseigne dans la Bhagavad-Gitâ que les pensées, les souvenirs de l’être, à l’instant de quitter le corps, déterminent sa future condition…de l’autre côté. Cet espace temps est le domaine d’action du p-a-s-s-e-u-r d’âmes, un médium lui aussi.

Ce terme ayant fait l’objet d’un dépôt de marque auprès de l’INPI, nous ne pouvons plus l’utiliser dans internet sans risque de procès ! Nous parlerons donc de transiteur de l’âme et de transition de l’âme pour le p-a-s-s-a-g-e de l’âme.

Pour ce qui concerne la jeune maman, il lui fit comprendre que ses enfants sont adultes maintenat, qu’ils sont même grand-parents et qu’ils n’ont plus besoin de leur mère. Elle peut donc partir vers la Lumière avec les gens qui sont là pour la guider ! Elle a fini par accepter, mais cela a demandé deux heures de négociation au transiteur d'âme, tant cette mère était dans la douleur d’avoir délaissé ses filles !    

Le transiteur d’âme a également discuté avec ce jeune suicidé, pénétrant dans cet espace intermédiaire, pour lui faire comprendre qu’il est mort et qu’il doit regarder autour de lui les personnes décédées qu’il connait et qui viennent le chercher. Faisant un effort, il  les vis en effet et il quitta cet espace où il était confiné.

Pour ce qui est de la maison toujours habitée  par son propritaire défunt, celui ci était trop attachée aux biens terrestres pour pouvoir les quitter facilement. Il a fallu expliquer longuement la situation: sa mort, ce qui l'attendait ensuite, le détachement nécéssaire de ses possessions anciennes!

La pensée que vous avez en mourant peut créer les conditions de votre vision de l’Au-delà : c’est très important d’y prendre garde.  
 

L’aide aux âmes errantes

J’insiste pour dire que la pensée que vous avez  lors du passage peut être déterminante pour la suite de votre vie dans l’Au-delà. Il est donc important de donner la « permission » de mourir aux êtres chers qui nous quittent. La permission de se détacher du matériel, de se détacher de la vie terrestre, d'avoir .

L’acharnement thérapeutique est souvent évoqué, mais il faut aussi parler de l’acharnement affectif. La personne mourante n’aspire souvent qu’à être libérée, mais celle qui est là, à coté d’elle, veut la retenir à toute force. N’est ce pas aussi, si nous y réfléchissons bien, de l’égoïsme de notre part ou de la peur? Pour sa vie future, nous avons compris qu’il faut l’autoriser à partir

C’est une notion très importante pour l’accompagnement en fin de vie. Cela évite d efaire d'elle une âme errante, dans le désarroi. Accepter de partir, c’est d’autant plus facile si l’on est convaincu de sa survivance future et du fait que ceux que nous laissons sauront poursuivre leur chemin sans notre aide directe.

 Le CONCORDE

Voici maintenant quelques exemples d’aide aux âmes errantes. Voyons tout d’abord l’histoire du Concorde. Ce bel avion français a inauguré son premier vol en mars 1969. Il a volé jusqu’en octobre 2003. Le 25 juillet 2000, un concorde s’envole de Roissy. Il roule sur une pièce métallique qui entraîne la perforation d’un réservoir. Il prend feu. Une minute après le décollage, il s‘écrase sur un hôtel à Gonesse.

Le bilan est très lourd. Les 100 passagers allemands et américains et les 9 membres d’équipage sont tués. Les 4 employés de l’hôtel, sur lequel il s’est écrasé, sont aussi parmi les victimes. 
 

Lorsque mon travail me conduit à Paris, j’assiste à des réunions médiumniques dans la salle Gabriel Delanne à côté de la place d’Italie. Un soir, le médium transmet un message très impressionnant  à une dame, assise devant moi :

 « Derrière vous, il y a trois personnes, un homme brun avec des cheveux courts, une dame, cheveux blonds courts et une brune aux cheveux longs. Ils sont morts dans un accident d’avion. Ils ont brûlé ».

La dame assise devant moi complète : « oui, ils étaient dans le Concorde qui s’est écrasé à Gonesse » !

 
Le message personnel viendra de l’une de ses deux collègues de travail. Elle est  venu lui demander de s’occuper de sa fille qui semblait mal tourner et qui devait être reprise en main.  

A la suite de cette séance, je consulte donc le transiteur d’âmes qui entreprend de communique avec le personnel du Concorde

Le commandant,  le copilote, le mécanicien sont partis dans la lumière. Situés dans le cockpit, ils se sont, sans doute, vu mourir.   

La situation n’est pas la même à l’arrière de l’avion. La chef de cabine se dit prisonnière des tôles de l’avion, elle n’est pas morte, c’est ce qu’elle dit ! Le bas de son corps est coincée par les tôles. Ce n’est pas impossible. Les autres membres de l’équipage, déjà partis dans la lumière, sont revenus pour l’emmener.

Une hotesse est restée avec elle pour la réconforter, elle partira donc avec elle lorsqu’elle sera convaincue de quitter l’avion.   

Brigitte K., l'hotesse blonde est venue spécialement d’Allemagne en France pour travailler sur Concorde. C’est elle, la salle Gabriel Delanne à Paris, qui a donné son message, car elle dit bien qu’elle est déjà partie!   

Mais, malheureusement, il reste encore du monde dans l’avion… Une autre hotesse, voulait rester avec son mari, car il n’y pas longtemps qu’elle s’est mariée. En lui expliquant qu’elle pourrait mieux l’aider depuis « là-haut » elle a accepté de partir aussi. 

Un epremier steward est déjà parti, c’est donc aussi lui qui est apparu en séance à Paris. Un autre steward est encore dans l’avion car il dit vouloir aider les 10 passagers restant! Il en a la responsabilité, il ne veut pas partir. Apres discussion, il accepte de les emmener avec lui vers la Lumière. 

Nous finissons en nettoyant la zone du crash, afin que les quatre employés de l’hôtel puissent également monter à leur tour. 

Il reste, néanmoins un mystère : qui est la troisième personne, cette fille brune, cheveux longs, qui est venu donner le message dans la salle Delanne à Paris ?

Si l’objectif de cette communication semble être toujours de rassurer les vivants sur l’avenir de leurs décédés et demander de l’aide pour la fille qui tourne mal, il est aussi d’aider les 13 personnes encore "coincées" dans l’avion et les 4 personnes de l’hôtel ! 


La guerre 14-18

Faisons un peu d’histoire à présent, celle de la guerre de 14-18 et celle de ma famille. Elle habite, en Lorraine, à 15 km de la zone allemande (depuis 1870) et à 50 km de Verdun. Chez Derelle, le père, Anatole Paulin, est soldat du côté français. La mère, Glossinde avec ses 4 enfants : Maurice, 7 ans, Fernand, 5 ans, René, 4 ans et Paulette, encore nourrie au sein sont du côté envahi par les allemands. En février 1915, ceux-ci décident de se séparer des bouches inutiles. Les grandes familles sont chassées en zone française.

Les miens prennent le train en direction de l’Allemagne, puis de la Suisse où Maurice, mon père,  goûte pour la première fois de sa vie, une orange, offerte par la population. Le train s’enfonce ensuit dans la France profonde. Peu de gens veulent accueillir les réfugiés, appelés les boches de l’Est. 
 
La famille débarque dans la Nièvre à St Bénin d’Azy. 

 Les communications en 2005 avec oncle René

Faisons un saut de cinquante ans, je suis une fois de plus dans la même salle, à Paris, le médium dit: « Vous Monsieur, au premier rang, vous aviez quelqu’un qui est mort et qui ne pouvait plus communiquer » me dit-elle!

Ce parent de l’Au-delà est mon oncle René. Il me fait comprendre que mes dossiers ne sont pas rangés, ce qui est vrai dans mon bureau, à la maison, que je dois prendre des classeurs, y mettre des intercalaires et ranger mes papiers! C’est vrai et cela l’énerve d’autant plus que lui était un maniaque du rangement. Dans son atelier: chaque vis, chaque écrou avait sa place précise.

 « Vous chercher quelque chose, il va vous aider » ! Ajoute le médium.

J’ai un autre mystère dans la famille concernant son plus jeune frère Paulin, je suis content, il va m’aider, cela fait vingt ans que je cherche le fils caché de Paulin, je ne pense pas du tout à St Bénin d’Azy !

 
Le château de la cave

15 jours plus tard, je vais avec Laurence dans le Berry, sur la tombe de son mari, François et nous passons par St Bénin d’Azy. J’ai emmené la photo de la petite maison, prise par mon père en 1959. Nous avions déjà cherché, avant la communication de mon oncle, l’endroit où il avait été accueilli avec sa mère et ses frères et sœurs. Cela avait été en vain. A  nouveau, nous montrons cette photo à St Bénin d’Azy, aux membres de la famille habitant les 3 châteaux du village : rien ! Nous allons donc nous promener dans la campagne en voiture. Dans un hameau voisin, nous sommes bloqués par un couple agé qui occupait toute la largeur de la petite rue. Le mari accompagnait sa femme appuyée sur un déambulateur. L'idée nous vient de montrer la photo. Le monsieur connaît ! C’est le château de la cave, la maison du piqueux ! A 20 Km d’ici !

Et voici devant nous cette fameuse maison ! Bien entendu, mes oncles et tantes n’habitaient pas au château mais dans la maison du piqueux, probablement parti à la guerre ! Merci mon oncle René pour cette aide !  Voici Bernard et sa mère Joséphine devant la maison du piqueux  en 1959, j'avais 12 ans et en 2006.

la maison du piqueux en 1959

2005  
     Bernard et sa mère Josèphine devant la maison du piqueux en 2006

Le château en 2007

Cette belle bâtisse, achetée à la révolution par famille Mathieu, a hébergé le peintre Rosa Bonheur en 1840. Voici l’escalier intérieur et la cheminée dans la grande pièce qui sert maintenant pour les mariages car le château a été tout juste sauvé de la ruine pour devenir un hôtel restaurant. Lors d‘un mariage en 2007, une invitée, restée en retrait, dit au gérant qu’elle voit et ressent des présences d’entités : un jeune homme assis sur une chaise devant la cheminée, une dame plus âgée qu’elle sent sans la voir. Nous voici à nouveau avec des âmes errantes !   

La généalogie des propriétaires du château

La généalogie des propriétaires du château a été établie par le gérant. C’est une affaire de femmes : Stéphanie Dumont a hérité du château acheté à la révolution par sa famille, des paysans aisés, les Mathieu. Il s’hérite de femme en femme.

En interrogeant ces personnes décédées une à une, avec le transiteur des âmes, nous avons retrouvé les entités qui hantent le château. Le jeune homme, c’est Charles Humbert décédé en 1903, la dame âgée est Bonne Marie. Elle est la fille de la châtelaine Stéphanie Dumont, laquelle a recueilli ma grand-mère et ses enfants en 1915. C'est la soeur de Charles Humbert. Elle est décédée en 1951. Mais en 2007, elle dit qu'elle veut toujours aider les autres avec son château !   

Ce message de mon oncle, m’aidant à retrouver ce que je cherchais, ne correspondait pas à des aproles en l'air. Il avait pour but de m’aider dans mes recherches généalogiques sur l’histoire de ma famille, mais aussi et surtout d’aider ceux qui étaient bloqués depuis 104 ans et 56 ans .Juste retour de choses : Stéphanie avait aidée ma grand-mère et ses enfants, Bernard, son petit fils aide la fille de sa bienfaitrice.

C’est l’aide mutuelle entre les vivants et les morts.

 Le sous-marin Minerve

Commandés en 1952, ces sous-marins de la série Daphné entrent en service progressivement de 1964 à 1970. Une série de 10 est prévue et réalisée. Le Minerve est le 7ième de la série. 

Vous le voyez à gauche dans le port de Marseille.  
 

Il disparait en mer le 28 janvier 1968 lors de manœuvre au large de Toulon. L’épave repose par 1500 m de profondeur, elle n’a pas été retrouvée à ce jour.  

A bord du Minerve, il y avait 52 marins, à l’étroit comme cette photo le montre.

 

J’ai été contacté par une dame qui voulait communiquer avec un des marins : Daniel N. 26 ans. Elle voulait prendre rendez avec un médium, de manière urgente ! Lorsque je lui ai demandé la raison de ce voyage, elle m’a dit vouloir, entre autre personne, parler à son cousin mort dans le sous-marin Minerve.   

Compte tenu de cette mort dramatique, j’ai pensé qu’il fallait s’occuper de ces âmes dont certaines, peut-être, n’étaient pas encore dégagées.

Nous avons donc contacté Daniel. Il nous dit alors qu’il ne sait pas où il est, il n’a pas conscience qu’il est mort parce qu’il est encore avec les autres. Nous lui expliquons la situation et il accepte finalement de quitter le sous-marin.  Une autre personne ne veut pas partir car elle se sent responsable, sans doute est ce un gradé! C’est intéressant, car si d’autres sont encore là, nous allons aussi pouvoir nous en occuper. Il partira finalement car le négociateur a trouvé le bon argument : il lui a dit qu’il pourrait revenir si cela ne lui plaisait pas de l’autre côté ! Tous les arguments sont bons pour aider à la libération de ces âmes !

 La semaine suivante, la dame qui m’avait contacté, a pu communiquer avec son cousin.

 Ici comme pour la tragédie du Concorde, si l’objectif principal de cette communication semble être toujours de rassurer les vivants sur l’avenir de leurs décédés, l’objectif parallèle est aussi d’aider ces marins encore bloqués dans le sous-marin et donc dans leur évolution!

 

Le miracle de Faverney

Le 26 mai 1608, un fait extraordinaire est arrivé dans l’église de l’abbaye de Faverney, en Haute-Saône, dans l’est de la France. Après un incendie localisé, un ostensoir, contenant deux hosties, est resté suspendu trente deux heures dans le vide, au milieu de l’église. Des milliers de personnes en ont été témoin. Quelques unes ont déposé devant notaire et Frédéric Vuillard, un protestant qui passait à Vesoul pour ses affaires, est venu constater les faits sur place. Il s’est converti plus tard, ainsi que sa famille, au catholicisme.  

Les faits sont incontestables. Mais quelles étaient les circonstances des événements ? L’abbaye périclitait. En 1520 déjà, il ne restait plus que 6 religieux. Les abbés se suivirent ensuite jusqu’en 1580 sans résider sur place. Les guerres de religions faisaient rage. Les protestants, venant de Suisse, envahissaient la Franche Comté catholique et des destructions étaient fréquentes. Ainsi en 1595, l’abbaye est en partie ruinée. L’abbé François de Grammont, qui réside sur place depuis 1586, assiste, début 1595, à l’invasion des protestants puis à leur départ précipité, après qu’un soldat eut été foudroyé alors qu’il coupait un bras de la statue de Marie. Les soldats s’enfuient le trois février : « nous sommes maudits ». L’abbé décède de phtisie le 6 juin 1595 à Besançon.

L’abbé Jean Doroz, qui lui succède, assiste au retour des mercenaires catholiques venu les défendre contre les protestants et qui disent ne pas avoir été payés. Ils s’invitent pour l’hiver 1595/1596, ce qui occasionne encore bien des désagréments aux moines.   

Pour reconstruire l’abbaye, un des abbés va demander le bénéfice des indulgences :

« Au temps où Dom Maximilien de Gevigney était moine-sacristain du monastère, un personnage laïque, nommé Nicolas Bonhomme, autrefois cuisinier de Mgr l'archevêque de Besançon, avait obtenu de Rome, pour dix ans, le privilège des indulgences apostoliques en faveur de ceux qui visiteraient l'église abbatiale de Faverney «à un jour seulement de feste Penthecoste». Mais déjà aussi, durant ces dix ans, on avait exposé le Saint-Sacrement sur une table en forme de reposoir afin d'échauffer la dévotion des pèlerins envers la très sainte Eucharistie.
Quand Dom Jean Garnier, religieux à Faverney depuis 32 ans passés, fut en 1596 élevé par l'abbé Jean Doroz à la dignité de prêtre-sacristain, le privilège des indulgences de la Pentecôte était périmé ; et, comme d'une part les ressources de l'abbaye avaient été en grande partie ruinées par les ravages des soldats de Tremblecourt, et que d'autre part un des devoirs de sa charge était de pourvoir par les oblations des fidèles soit à la fourniture du luminaire d'église soit à la sonnerie des cloches, Dom Garnier avait donc sollicité en cour de Rome une nouvelle concession d'indulgences. Cette fois le Saint-Siège avait accordé un pardon de dix ans et quarante jours à gagner «au jour de feste Pentecoste et les deux jours fériés d'icelle». Ainsi en était-il depuis l'année 1604 
».  Faverney, son abbaye et le miracle des saintes hosties par l’abbé L. Eberlé Luxeuil 1915

En clair, moyennant finance, il était possible de raccourcir la durée de l’expiation au purgatoire. Cette capacité était octroyée par le pape. Elle faisait gagner plus rapidement le paradis. Cette question avait déjà entraîné la séparation entre catholiques et protestants. Ces derniers ne pouvaient accepter cette affaire d’argent et surtout cette possibilité terrestre d’agir sur un châtiment dans l’Au-delà. Quel orgueil de se mettre à la place de Dieu, seul capable, pour les protestants, de juger de notre expiation au ciel !   

La bulle papale qui accréditait cette concession d’indulgence était exposée sur la table reposoir devant l’ostensoir. Lui-même avait pris place devant un tabernacle en bois. Deux chandeliers allumés encadraient le tabernacle. Dans la nuit, un incendie, provoqué par les chandeliers, brûla la table et le tabernacle. La bulle papale resta intacte tandis que l’ostensoir avait disparu. Rapidement cependant, un jeune novice aperçut l’ostensoir flottant dans la nef et toute la population rapidement mise au courant se précipita dans l’église.   

Nous savons, par les communications avec les entités de l’Au-delà, qu’elles sont capables d’agir sur la matière pour diverses raisons. Si elles veulent faire comprendre qu’elles sont vivantes et actives de l’autre côté, elles peuvent changer la place d’objets dans une maison par exemple.

Si un esprit évolué, Dieu, Jésus, était responsable de ce miracle, il aurait probablement laissé se consumer la bulle papale, source de dissensions dans la chrétienté. Au lieu de cela, elle sortit indemne de l’incendie et servit même de prétexte aux catholiques pour justifier leur croyance en la présence réelle de Jésus dans l’hostie. Etrange manque d’œcuménisme pour cet esprit évolué !  Il est donc légitime de penser qu’il s’agit de l’action d’un esprit, certes désincarné, mais peu évolué par rapport à Dieu ou Jésus. 
Peut-être n’est-il même pas passé dans la Lumière ! Pour m’en assurer, je contactai le transiteur des âmes afin de communiquer avec les derniers évêques décédés de Faverney.

Le dernier abbé responsable de l’abbaye avant le miracle de 1608 était Jean Doroz. Sollicité, il répond qu’il est passé dans la Lumière et qu’il n’a pas besoin de nos services pour trouver son chemin. Il y a longtemps qu’il l’a trouvé tout seul. Par ailleurs, il donne des détails sur sa mort, qu’il serait utile de vérifier.

Le précédent abbé était François de Grammont. Au transiteur d’âmes qui l’appelle, il répond qu’il n’est pas là ! « Si vous dites que vous n’êtes pas là, c’est que, malheureusement vous êtes bien encore là ! » rétorque le transiteur d’âmes. Ainsi confondu, il dit que l’abbaye est à lui, qu’il y est toujours présent. Il y reçoit les honneurs de ceux qui viennent prier, de tous ceux qui viennent honorer cet endroit. La négociation tourne court, il ne veut pas passer dans la Lumière, il est trop attaché à son abbaye ! Il faudra reprendre une autre fois.  

Nous n’avons pas obtenu de réponse à notre questionnement : qui a tenu l’ostensoir hors de flammes pendant trente deux heures ? Mais nous avons un abbé qui ne sait pas qu’il est mort et qui ne veut pas quitter son abbaye ! Compte tenu de son attachement à elle, de sa grande douleur à la voir délaissée et surtout de son désir de recevoir les honneurs de ses fidèles, nous pouvons tenir pour plausible que c’est lui qui a protégé la bulle papale et qu’il a soutenu cet ostensoir bien haut, pendant trente deux heures, pour redorer le blason de son abbaye et faire revenir la foule des fidèles !

Bilan des communications

Il faut considérer ces personnes dans l'Au-delà comme parties en vacances. Le message transmis s’apparente à une carte postale. La personne décédée prouve son identité, comme le prouve la signature de la carte postale. Elle donne, par exemple les circonstances de son décès, ou transmet des signes permettant de la reconnaître (par exemple, un homme qui a trompé sa femme vient à genoux implorer son pardon).   

L’entité peut alors communiquer des informations en sa possession :

Elle peut annoncer un décès qui vient d’avoir lieu très loin et ne sera connu que dans quelques heures. C'est ainsi que Victor Hugo à Guernesey a appris le décès d’un ami sur le continent. Cela peut également se passer lors d'un rêve, pas seulement avec un médium ou par écriture automatique. Laurence a appris en rêve où le corps de ma femme Thérèse allait être retrouvé. Elle peut aussi donner un conseil de santé, pour orienter un vivant sur un spécialiste différent de celui qu’il a vu jusqu’à présent…

Parfois il s’agit d’un appel au secours de quelqu’un qui panique une fois arrivé de l’autre coté. 
Voici l’exemple d’une femme de la parenté de Laurence qui n’avait aucune croyance dans la survivance et qui lui demande de l’aide :  
ne m'abandonnez pas       qui priera pour moi  
 
Et voici les remerciements après que la famille ai prié pour elle !  

merci beaucoup  

D'autres entités reviennent aussi pour remercier les personnes qui les ont assistées au cours de leur vie terrestre. Lors d'une séance publique, le médium fit part du geste d'une femme (décédée) déposant une rose blanche sur les genoux de sa belle fille. Celle ci s'était occupée d'elle avec amour lors de sa longuemaladie.

L’expérimentation personnelle

Je dois vous dire une chose importante : votre discernement est nécessaire. Voici d’ailleurs ce que dit un homme d’une autre culture, mais la sagesse n’est elle pas universelle… 

 Tu veux apprendre la vérité de ma bouche, au lieu d’en faire toi-même l’expérience.

Tu ne découvriras pas la vérité dans ce que je dis

La vérité ne peut être saisie qu’à travers l’expérience. (Aigle Volant)

 
Il ne faut pas croire tout ce que l’on vous raconte et donc ne pas croire tout ce que je vous raconte. Le mieux est de tester vous même la communication avec l’Au-Delà avec quelqu’un de sérieux.


En cliquant sur les onglets bleus  vous trouverez des explications dans les autres domaines.

Nota : vous n'êtes pas obligés d'adhérer  à ces explications techniques pour que vous puissiez contacter vos défunts. Les contacts sont du domaine de la physique, les explications techniques sont celles connues à ce jour et peuvent évoluer.

 
famille Derelle
Anatole Paulin et
Glossinde Derelle
Glossinde Derelle
Glossinde et les
enfants à St Bénin
en 1915
Bonne Marie
Bonne Marie
ostensoir miracle Faverney
Ostensoir avec les hosties en haut et
le tube des reliques au milieu
Plan eglise Faverney
Plan église Faverney

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