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Etapes du DEUIL : la COLERE

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Le déni passé laisse souvent place à l’expression de la colère, de la révolte:


                  "Il n'aurait pas du mourir "


C’est un moment où l’on recherche des causes, des coupables du décès, telle chose mangée, tel sport fait juste avant la perte de l’enfant, ….

Un sentiment d’injustice apparaît, d’autant plus intense que la mort est inattendue ou les liens avec le défunt étroits : “ Pourquoi lui ? C’est injuste à son âge, dans sa situation. Pourquoi me fait-il cela ? Qu’ai-je fait pour mériter cela ?... ”

Cette étape est spécialement difficile à dépasser, peut-être parce que, confrontés au problème de la mort, et surtout de cette mort, nous n’avons pas de réponse claire, d’explication naturelle. Nous cherchons un coupable : Dieu, les forces du mal, la société, les négligences du corps médical. Commence alors un examen sans fin du comment et du pourquoi de cette mort.

La rancœur et parfois le désir de vengeance s’installent envers toute personne considérée comme responsable de la mort.

Vous vous accusez également: "si j'avais fait cela , si je n'avais pas fait ceci, il ne serait pas mort "

Cette colère peut également atteindre la famille, les proches car les tensions sous-jacentes avant le deuil vous être exacerbées dans ces circonstances dramatiques.

Ces manifestations agressives ont besoin de s’extérioriser. Elles sont l’expression d’une forte charge émotionnelle qui doit pouvoir s’alléger. La façon dont la personne est entourée, écoutée, réconfortée, compte beaucoup.  

Cette colère doit pouvoir s’extérioriser, dans le cercle intime ou en travail thérapeutique. On a le droit d’hurler sa colère, d'être hors de soi face à des souffrances telles que celles du deuil. Il est important que cette colère sorte, car ce qui ne s’exprime pas s’imprime. Cette colère rentrée peut agresser le corps physique et entraîner des pathologies graves.  
 

La colère peut aussi être dirigée contre celui qui est parti, qui nous a abandonné avec tous ces problèmes matériels, avec les enfants…Mais, cette colère n’est pas admise, le défunt n’a pas demandé à mourir, cela ne se fait pas ! Et nous retournons alors cette colère contre nous, c’est la période de la culpabilité.

 
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Mise à jour: 24 08 2012