Après toutes ces explications, issues des enseignements de l'Au-delà, sur notre constitution et sur le sens de notre vie sur cette terre, que reste-t-il des dogmes des religions d'Orient ?

Dans tout ce qui précède, nous avons essayé de montrer que les morts sont vivants, dans une autre dimension et qu’ils sont capables de communiquer avec nous. Ils ont gardé leur personnalité, donc leurs qualités et parfois leurs défauts terrestres.

Ces messages, mêmes s’ils sont de niveaux très différents selon, justement, la personnalité du défunt, démontrent la persistance de l’âme après la mort physique.

Le Bouddhisme a tellement insisté sur l’impermanence du monde réel, matériel, qu’il en est arrivé à prôner l’impermanence de l’âme ! Mais alors si l’on ne sait pas qui ou quoi renaît ou se réincarne, comment être certain que l’enfant choisi est bien la réincarnation du Dalaï-lama précédent ?

Le bouddhisme est surtout une médecine de l’esprit car Dieu n’existe pas. C’est peut être la raison de son succès en Occident auprès des anciens athées !

Curieusement, lorsque les bouddhistes passent de la théorie, le dogme, à la réalité du vécu, les choses semblent évoluer. Matthieu Ricard, pour prouver la réalité de la réincarnation à son père, cite ne nombreux exemples d’enfants réincarnés, dont un qu’il a vécu personnellement ! L’enfant se souvient de détails qui prouvent qu’il n’est pas la centième partie d’un « courant de conscience » de la vie précédente, mais bien la personne elle même, ou plutôt son âme réincarnée ! 

Nous pouvons donc dire avec le père François Brune que : «  la vision bouddhiste de l’Au-delà ne tient pas devant les faits » puisqu’elle nie :

- la survivance du moi après la mort,

- la possibilité de rencontrer des défunts lors d’une NDE,

   - la possibilité de communiquer avec les décédés au-delà des quarante neufs jours

Si l’hindouisme a su prôner la réincarnation d’une âme individuelle, il n’a pas intégré la compassion pour les personnes qui naissent dans les basses classes de la société. L’acceptation du système des castes pourrait alourdir le karma de ceux qui l’acceptent tel quel.

L’hindouisme se trompe lorsqu’il affirme qu’un acte est bon ou mauvais en lui-même. C’est l’intention qui sous-tend l’acte qui en fait sa valeur positive ou négative qui va alimenter le karma. C’est la vision bouddhiste qui est juste.

Les panthéons Hindouiste et Bouddhiste sont remplis de dieux et de déesses. Ce sont les restes des anciennes religions d’Orient qui les ont précédés. Par rapport à ceux-ci, le panthéon catholique est vraiment minuscule ! Un sérieux ménage est à faire.
 

 Nota:
Ces conception d'Orient étant très difficiles à comprendre pour un esprit occidental, je suis preneur de toutes informations complémentaires ou de corrections fraternelles pouvant faire mieux les faire connaitre.